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The Movie Experience

14 avril 2006

Pompoko

Écrit le Vendredi 2 Décembre 2005 à 22:57    sur  Square  Palace
POMPOKO ou comment regretter de ne pas être un joyeu tanuki dans une forêt paisible

Réalisateur: Takahata Isao
Année: 1994
pompoko
Synopsis: Les Tanukis sont, aux yeux de le l'homme, des rongeurs comme les autres...mais dès qu'il a le dos tourné...ils redeviennent de joyeux bipèdes poilus aux testicules proéminantes (ce n'est pas un exès de vulgarité, les testicules jouent un rôle imortant) toujours près à faire la fête, chanter, danser en rythme...bref la vie, la vraie, comme on aimerait en profiter éternellement

Mais dans le monde actuel, cette péperdise est mise à mal...par l'urbanisme qui réduit l'espace vital des Tanukis. Ainsi les premiers minutes du films nous plongent dans une bataille épiques entre rongeurs bleus et rouges pour la domination du territoire (scène absolument culte et illarante)

"Le combat fut violent et épique mais ne dura pas longtemps"

Tels sont les mots de la voie off...car le combat est interompu par leur raison, et c'est grimpé du haut d'un pilonne de haute tension que les Tanukis découvrent que la montagne voisine a fait les frais de la construction de la ville nouvelle de Tama: plus d'arbre ni de fier montagne mais un champ de travaux...
Les hummais sont plus forts que les dieux et il faut agir ensemble pour préserver l'avenir de l'espèce...La lutte et le plan quinquenal sont lancé, et désormais tous les jeunes Tanukis sont conviés aux cours du grand art: la métamorphose (en tout et n'inporte quoi) !

C'est cette lutte que le film nous expose.
D'apprentissage en expériences, de coups d'audaces en manifestations de forces, les Tanukis se démenent, mais l'ennemi est très fort et ne se décourage jamais.pompoko_1

Le film brille évidament de sont ressort souvent comique (pas juste un sourir à chaque vanne...non non...on se roule par terre et on frappe le tapis), mais aussi par son aspect parfois documentaire qui pose les vrais problemes sans tourner autour du pot ni sous entendre plus, ou moins que ce dont il est question, et enfin et surtout, de nous émouvoir de l'enchainement de deux couplés d'émerveillement et de désilusions. Entre comique aux tragique il n'y a qu'un pas: le même qu'il y a entre pleurer de rire ou de frustration. L'histoire mene sont gentil petit bonhomme de chemin, et même si je n'ai pas saisi les réference culturelles (il semble que l'on évoque le "Shinto" ;) de quelques passages clef, j'ai largement profité de l'impacte que cela doit avoir de part le parfait dosage dans l'enchainement des idées et du rendu graphique bleufant. On ne profite pas à moitié de Pompoko et il se livre pleinement dès le premier visionnage grâce à sa parfaite lisibilité, sa capacité à dire les choses et poser les problemes sans ambiguité (apparté théàtrale, la voie off avec l'aspect documentaire, etc). Attention, ce n'est pas pour autant du premier degré (hey oh c'est pas Dysney non plus!), mais contrairement à certains animés, au final, on a pas l'impression d'avoir eu juste une petite histoire bien foutue et on sait pourquoi on a eu tels ou tels réaction, et surtout, à propos de quels thèmes et idées; sans pour autant pouvoir tout comprendre, le film s'ouvre pleinement au spectateur sans lui donner l'impression de macher du coton.

1pp
Graphiquement, c'est évidement très réussis, et le film joue sur les différentes formes des Tanukis de façon remarquable. L'ambiance est inimitable, et la bande son n'y est pas pour rien (TCHU LIA SO ! mouarf).

Vraiment à voir, que dire de plus ?

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7 avril 2006

Kaze No Tani No Nausicaä

Écrit le Lundi 18 Juillet 2005 à 22:09 sur Square Palace

Nausicaä de la vallée du vent
(1984)      

http://www.boolsite.net/images/previews/DessinsAnimes/Nausica/_prev/Nausica01.jpg      

Le contexte: Miyazaki et Takahata sont près à fonder le studio Ghibli et il faut un succès d'un long métrage histoire d'encrer miyazaki dans les valeurs montantes de l'animé (et donner de l'intéret aux futurs créations du studio)
Takahata produit l'oeuvre, Miyazaki réalise.      

On sort alors de l'étagère un magnifique manga nommé, vous l'aurez deviné Nausicaä de la vallée du vent   

Des tous petits moyens pour un délai intenable, tels est le lot de cette création...      
Bref c'est à se demander si ça va pas plutot couler M...      
Ben la preuve que non, aujourd'hui M est le seul réalisateur courramenbt connue en France...      
Et pour cause, pour un budget aussi ridicule Nausicaä va crever l'écran et s'imposer comme un excellent animé !      

L'histoire: En très bref le monde industriel a provoqué la perditions de l'environnement et les hommes qui survivent encore sont face à la croissace du Fukai (végétation hostile dont les spores sont toxic): Nausicaä réside dans une vallée où le vent éternel qui y règne protège la tranquille place de l'invasion des spores

ouarf je raconterais même pas quel est l'élément perturbateur tellement l'intrigue est sublime à découvrire !   

Bon comme c'est l'adaptation en catastrophe d'un manga, le rythme de l'oeuvre n'est pas bien trouvé: en effet la publication du livre par épisode implique que chaque volume possède une "mini intro" et une "mini conclusion", et l'enjeu principal est de transformer les conclusions partielles en transitions, et les intros en accroche...même si une grosse partie du travail est déjà éffectuer, mettre bout à bout deux scènes se révele sans conteste plus hasardeux que de publier deux livres...(erf avec un livre on relis le précédent si on a du mal sur des élément qui ne sont que suggeré...pas dans un animé...). Bref un casse tête qui implique un travail totalement différent d'une création simple d'un bout à l'autre (et c'est la même chose pour beaucoup d'adaptations...)

Ce qui en ressort, c'est que le rythme est vraiment surprennant: c'est truffé de longues transitions, de détails superflux pour l'histoire en elle même (perso je trouve que ça donne du charme parcequ'on a vraiment l'impression que l'univers décrit est beaucoup plus riche que ce que l'on voit à l'image), parfois même de retours en arrière...et à côté de cela l'action peut s'enchainer à tout va sans un seul répis (mulitpliant les contre sens sur lequel on a même pas le temps de s'attarder mais qui ne sont pas dommageables)...et et et et et et et et...

Le tout nous conduit très logiquement vers un final bluffant, un tonnerre d'émotion, qui pousse à se retourner sur ces deux heures passées et à se demander si on a autant voyagé dans notre être avant ce film...réellement Nausicaä nous mène loin.        

et ce n'est qu'une adaptation...où seul Nausicaä est bien présentée...vraiment le manga original doit nous présenter des aspects des adjuvants et opposants insoupsonnés (j'ai lut notament que Asbel n'était pas aussi caricatural et qu'il faisait preuve de beaucoup plus d'ambiguité dans sa position)

Côté graphique c'est fait à l'arrache mais ça tient la route (certains spécialiste dénnotes même une évolution dans le desin des persos lol)...

Un article sur ce film d'un journaliste spécialisé s'est attaché à comparer en faisant des liens bien définis avec Mononoke sur trois axes: les ressemblances des persos, les ressemblances des lieux, et la construction narrative semblable...

Sur les perso, il est vrai que nombres de raprochements sont pertinants (Nausicaä/Ashitaka, Asbel/San DameEboshi/etc)...l'analyse avait le mérite de souligner le fait que la construction des personnages de Nausicaä de la vallée du vent avait franchement empatie du manque de temps et que Mononoke restait une réference dans le type...mais au final ce n'est pas la qualité de Nde la vallée du vent qui est à remettre en cause mais plus l'excellence de Mononoke en la matière qui est à souligner !

Les lieux, c'était hasardeux (rien de fondamental ou d'évident)      

Enfin, sur la construction de l'histoire, j'émettrais beaucoup plus de réserve que l'auteur: il y a autant de raison de dire que le film sont semblable que de dire qu'ils sont différents...et aucun point de vue ne peut l'emporter sur lautre...les deux films s'appuient sur la même recette de Miyazaki donc il est évident que l'on retrouve un peu de l'un dans l'autre: vous n'assisterez en rien à la copie conforme...
(Le mystic est abordé d'une façon comparable mais j'apprécie beaucoup plus l'aspect prophétique de Nausicaä, question de goût)      

Le journaliste concluait quelques remarques chocs du type "on a applaudit le succès de Nausicaä 10 plus tard par l'intermédiaire", ou alors en disant qu'un réalisateur qui ferait Nausicaä aujourd'hui serait accusé de plagiat...c'est surement trop en dire et je suis d'avis que Miyazaki a simplement tiré des leçons de Nausicaä afin d'atteindre un niveau encore supérieure dans ses animés...

Mononoke et Nausicaä se distinguent suffisament l'un de l'autre pour que le journaliste l'ai bien souligné et le papier était plus qu'intéressant !

J'oublie, l'OST est la première collaboration entre Hisaishi et M, à l'image du film les moyens sont très modestes, mais le thème principale est encore plus inoubliable que dans les autres films ! (piste 1)

Voilà j'en ai finis avec Nausicaä (mon Miyazaki préferé avec Tonari no Totoro c'est tout dire !)      

Je vous invite à vous plonger dans cette histoire incontournable qui vous laissera pantoi: c'est un monde à découvrir !      

http://www.linternaute.com/sortir/sorties/exposition/diaporama-miyazaki-moebius/images/miyazaki/nausicaa.jpg      

NB: lors de la rédaction de ce post je n'avais pas encore lu le manga


      
2 avril 2006

Tonari No Totoro

Écrit le Vendredi 29 Avril 2005 à 21:18 sur SquarePalace.com

totoro03_1024

Voilà j'aimerais évoqué un film mythique du studio Ghibli, à savoir Mon voisin Totoro (Tonari no Totoro).

Pourquoi est ce qu'on animé de 1H 26 est devenu à ce point populaire, au point que Totoro soit associé à chaqu'un des films du studio, alors que l'action est on ne peux plus plate aux niveau rebondissement...

On peut d'abord évoquer tout d'abord trois scènes cultes qui à jamais reste à l'esprit du spectateur...

La première, le réveil de Totoro par Mei...je n'entre pas dans les détail (pas de spoil) mais c'est lors de cette scène que l'on découvre la boule de poil la plus incroyable que l'on puisse imaginer...un moment incroyable de calme, sérénité, et une apologie de la communion avec la nature...tout simplement bleufant...jamais j'ai autant voulu allez m'endormir contre un arbre et me laisser aller au soufle, non pas de totoro, mais du vent...

La seconde, l'entrée en scène du chat bus...ce décort ultra simple, masqué par l'obscurité, temple de spiritualité avec ses arbres immenses qui encadrent litéralement la scène, l'hotel dédié à je ne sait trop quel dieu (erf me suit pas encore mis au Boudisme :-P), le lampadère, seule source de lumière (l'arrivé d'une nouvelle lumière marque à chaque fois un nouvel évenement), bref le cadre invite à être persuadé que ce qui arrive s'inscrit dans une réalité sans doute cachée à la majorité, mais belle et bien vivante...ce n'est pas un rève, mais il est d'un autre monde...peut être celui de l'enfance...

Enfin la troisième scène culte, cette nuit magique, sans doute l'apogée de cette comunion avec les esprits et ce monde sylvestre si chatoyant...entre en jeu des phénomènes tous plus fou les uns que les autres, mais dont on ne remet pas une seule seconde la venue en cause...car ils viennent de ce si attachant Totoro...avant la venue de la suite de l'histoire, c'est une sérénité simple qui s'offe à nous...tout est fantastique...tout nous émerveille...ces instants me sont parvenus droit au coeur (erf chui un psycopathe) busstop

(je suis resté dans le flou pour ces scènes, pas de spoil, juste ce qu'il m'est donné de rapporter...)

Mais enfin, ce n'est pas le seul animé qui nous plonge dans des univers si enchanteurs...pourquoi une grosse bestiole, certe craquante, et quelques arbres nous mettent ils en émoi comme jamais...?

L'explication vient sans doute du fait qu'a aucun moment ces merveilles ne semble mis en périle...l'action se concentre dans la dernière partie sur les deux jeunes filles Satsuki (l'ainé) et Mei sans que le malheure ne s'abatte à son tour sur Totoro et ces lieux mémorables...cependant l'émotion parvient jusqu'à eux ce qui nous plonge un instant dans le doute...bref le avre de paix ne perçoit que les échos de la détresse et la rend encore plus belle .(les larmes de Satsuki oubliées dès que le sourire gargantuesque de Totoro apparait)..c'est un refuge aux reste du monde...

De la même façon, cet univers incongru n'est jamais approché ni égratiné par le monde des adultes...le père ne remets jamais en cause ce que lui dit ses filles...seul ces dernières ont accès à la "magie" qu'inspire le merveilleux, enfin Totoro et Neko Basu sont invisibles aux humains.

Voilà c'est sans doute un rassemblement de tout ces éléments, et de bien d'autres que j'oublie, qui font que le rève de Tonari no Totoro nous pénetre au plus profond de notre être, et reste gravé dans notre mémoire...et ce soir là je me suis laissé à rèver d'un jour où je pourrais m'assoupir sur ce gros ventre et profiter d'instants d'oublie de sois même.

Bon j'en arrive au bout de cet mini apologie de Mon voisin Totoro et j'espere que je vous ai donné envie de voir ce chef d'oeuvre de l'animation, ce monument des rèves...et cette part spiritualité qui nous manque...

petit mot de l'ost, une nouvelle fois Hisaishi aux comandes, et une nouvelle fois un accord parfait entre image et son, qui se fait discret pour ne pas entraver cette marche lente et plaisant à travers le film.

totoro_allsleep

2 avril 2006

Un bon début

nausicaa_up
    Bonjours, si vous tombez sur ce blog, ne grattez pas un ticket de loto: ce n'est pas votre jour de chance. J'y répertorie un certain nombre d'avis que j'ai formulé sur des oeuvre du 7ème art que j'ai pu poster ça et là sur divers forum. Ces avis datent, et je ne suis pas forcément d'accord avec ce que j'ai pu raconter par le passé. Pour le reste si je peux vous donner envie de voir ces films alors j'en serais comblé (mui je ne parle que de ce que j'ai pu apprécier). Sur ce, merci de votre visite.

NB: il est possible que je dérive parfois vers la musique ou la lecture

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